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geraldogomez
Description du blog :
Le Blog de Géraldo GOMEZ. Analyses, propositions, refondations et projets de société.
Catégorie :
Blog Politique
Date de création :
25.10.2008
Dernière mise à jour :
16.02.2013
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Derniers commentairespourquoi le président yayi boni a-t-il affirmé dans son entretien du mercredi passé sur les chaînes de télévi
Par adjovi, le 03.08.2012
faites implement attetion, n'acceptez rien de quelqu'un que vous ne connaissez pas. ça peut vous conduire loin
Par Anonyme, le 01.06.2012
la constitution du benin en tant que loi fondamentale de la republique ne doit pas etre reviser brutalement
Par GAMEDJO M. Serge L, le 27.04.2012
je parie que ce hezon qui dit habiter en france soit habite au bénin aussi je crois pas qu'il habite en france
Par Anonyme, le 19.04.2012
j'ai juste une question comment le bénin ne peut pas trouver une solution pour que les escrocs qui sont chez v
Par Anonyme, le 19.04.2012
Ceci est une introduction à une série d'articles et réflexions sur l'évolution de la politique béninoise, les différentes échéances et des commentaires sur les actualités.
A très bientôt
Quatre dirigeants africains représentant la Cédéao et l'Union africaine ont rencontré lundi soir à Abidjan Laurent Gbagbo, qui devait les informer qu'il n'a nullement l'intention de céder le pouvoir à son rival Alassane Ouattara.
Les présidents béninois, cap-verdien et sierra-léonais, mandatés par la Communauté économique des Etats d'Afrique de l'Ouest, ont déjà rencontré le président sortant la semaine dernière. Ils étaient accompagnés cette fois du Premier ministre du Kenya, Raila Odinga, dépêché par l'Union africaine et qui s'est prononcé pour un recours à la force si Laurent Gbagbo s'accroche au pouvoir.
"Nous sommes ici (...) pour engager un dialogue en vue de régler la crise", a déclaré Raila Odinga aux journalistes à l'issue de l'entrevue des quatre au palais présidentiel. Le chef du gouvernement kényan a indiqué qu'ils s'adresseraient à la presse dans le courant de la journée après une entrevue avec Alassane Ouattara.
Mais Abraham Doukouré, représentant de la Cedeao en Côte d'Ivoire, a précisé qu'il n'était pas question de remettre un ultimatum à Laurent Gbagbo, comme mardi dernier. "Les discussions vont se poursuivre", a-t-il dit à Reuters.
L'ANGOLA ACCUSE
Le président sortant s'appuie sur le soutien du Conseil constitutionnel dirigé par un de ses proches, Paul Yao N'Dréré, que les émissaires africains devaient aussi rencontrer, et de l'armée.
Il a réaffirmé au cours du week-end qu'il était prêt au dialogue mais a prévenu qu'Alassane Ouattara, désigné vainqueur de l'élection présidentielle du 28 novembre par la commission électorale, ne devait pas compter "sur des armées étrangères pour venir le faire président".
L'Angola, seul pays d'Afrique a avoir dépêché un ambassadeur à la prestation de serment de Laurent Gbagbo dans la foulée de la proclamation de sa réélection par le Conseil constitutionnel, a accusé des pays étrangers non spécifiés de pousser "d'autres pays de la région à lancer une guerre".
Pour sa part, Guillaume Soro, Premier ministre du gouvernement installé par Ouattara, a de nouveau évoqué l'option militaire.
"S'il ne donne pas son accord de partir pacifiquement aujourd'hui, il ne reste à la Cedeao que l'option militaire et mon gouvernement s'associera à toute initiative qui envisage une force légitime pour instaurer la démocratie en Côte d'Ivoire", a-t-il dit à la chaîne de télévision France 24.
"S'il quitte pacifiquement le pouvoir, il pourrait bénéficier d'avantages d'ancien chef d'Etat. C'est pourquoi nous souhaitons que M. Gbagbo (...) accède à la demande de la Cedeao. Qu'il abrège la souffrance des Ivoiriens en quittant le pouvoir pacifiquement", a ajouté Guillaume Soro.
Lundi, un haut responsable américain a estimé qu'une solution rapide ne semblait pas en vue.
"UN CERTAIN TEMPS ENCORE"
"On dirait qu'il faudra un certain temps encore avant que la situation ne se résorbe", a-t-il dit. "Si le président Gbagbo cherche à sortir la tête haute, nous restons ouverts et prêts à l'y aider. Mais il ne semble pas pour l'instant prêt à s'en aller. (...) Toutes les indications entre notre possession donnent à penser qu'il campe sur ses positions".
Alassane Ouattara et son administration sont retranchés dans l'hôtel du Golf à Abidjan, sous la protection de 600 soldats de l'Onu. Ils font valoir que l'armée ivoirienne est divisée et que la plupart des militaires n'opposeraient guère de résistance face au déploiement d'une force suffisante de la Cédéao.
Mais les dirigeants ouest-africains semblent peu enclins à prendre le risque d'un conflit. Le Nigeria, première puissance militaire régionale, a ses propres problèmes de sécurité à régler, accentués par l'élection présidentielle d'avril prochain.
Plus de 170 personnes ont été tuées dans les violences post-électorales, notamment le 16 décembre lors d'affrontements en marge d'une manifestation de partisans de Ouattara qui tentaient de marcher sur le siège de la Radio-télévision ivoirienne (RTI), considérée comme une machine de propagande au service de Laurent Gbagbo.
Le président du Club de Londres des créanciers privés a fait savoir que la Côte d'Ivoire n'avait pas remboursé près de 30 millions de dollars d'intérêts, sur un emprunt de 2,3 milliards de dollars, comme prévu à l'échéance du 31 décembre. Il a toutefois souligné qu'il existait une période de grâce de 30 jours et s'est dit persuadé que le pays paierait.
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Quatre dirigeants africains représentant la Cédéao et l'Union africaine ont rencontré lundi soir à Abidjan Laurent Gbagbo, qui devait les informer qu'il n'a nullement l'intention de céder le pouvoir à son rival Alassane Ouattara.
Les présidents béninois, cap-verdien et sierra-léonais, mandatés par la Communauté économique des Etats d'Afrique de l'Ouest, ont déjà rencontré le président sortant la semaine dernière. Ils étaient accompagnés cette fois du Premier ministre du Kenya, Raila Odinga, dépêché par l'Union africaine et qui s'est prononcé pour un recours à la force si Laurent Gbagbo s'accroche au pouvoir.
"Nous sommes ici (...) pour engager un dialogue en vue de régler la crise", a déclaré Raila Odinga aux journalistes à l'issue de l'entrevue des quatre au palais présidentiel. Le chef du gouvernement kényan a indiqué qu'ils s'adresseraient à la presse dans le courant de la journée après une entrevue avec Alassane Ouattara.
Mais Abraham Doukouré, représentant de la Cedeao en Côte d'Ivoire, a précisé qu'il n'était pas question de remettre un ultimatum à Laurent Gbagbo, comme mardi dernier. "Les discussions vont se poursuivre", a-t-il dit à Reuters.
L'ANGOLA ACCUSE
Le président sortant s'appuie sur le soutien du Conseil constitutionnel dirigé par un de ses proches, Paul Yao N'Dréré, que les émissaires africains devaient aussi rencontrer, et de l'armée.
Il a réaffirmé au cours du week-end qu'il était prêt au dialogue mais a prévenu qu'Alassane Ouattara, désigné vainqueur de l'élection présidentielle du 28 novembre par la commission électorale, ne devait pas compter "sur des armées étrangères pour venir le faire président".
L'Angola, seul pays d'Afrique a avoir dépêché un ambassadeur à la prestation de serment de Laurent Gbagbo dans la foulée de la proclamation de sa réélection par le Conseil constitutionnel, a accusé des pays étrangers non spécifiés de pousser "d'autres pays de la région à lancer une guerre".
Pour sa part, Guillaume Soro, Premier ministre du gouvernement installé par Ouattara, a de nouveau évoqué l'option militaire.
"S'il ne donne pas son accord de partir pacifiquement aujourd'hui, il ne reste à la Cedeao que l'option militaire et mon gouvernement s'associera à toute initiative qui envisage une force légitime pour instaurer la démocratie en Côte d'Ivoire", a-t-il dit à la chaîne de télévision France 24.
"S'il quitte pacifiquement le pouvoir, il pourrait bénéficier d'avantages d'ancien chef d'Etat. C'est pourquoi nous souhaitons que M. Gbagbo (...) accède à la demande de la Cedeao. Qu'il abrège la souffrance des Ivoiriens en quittant le pouvoir pacifiquement", a ajouté Guillaume Soro.
Lundi, un haut responsable américain a estimé qu'une solution rapide ne semblait pas en vue.
"UN CERTAIN TEMPS ENCORE"
"On dirait qu'il faudra un certain temps encore avant que la situation ne se résorbe", a-t-il dit. "Si le président Gbagbo cherche à sortir la tête haute, nous restons ouverts et prêts à l'y aider. Mais il ne semble pas pour l'instant prêt à s'en aller. (...) Toutes les indications entre notre possession donnent à penser qu'il campe sur ses positions".
Alassane Ouattara et son administration sont retranchés dans l'hôtel du Golf à Abidjan, sous la protection de 600 soldats de l'Onu. Ils font valoir que l'armée ivoirienne est divisée et que la plupart des militaires n'opposeraient guère de résistance face au déploiement d'une force suffisante de la Cédéao.
Mais les dirigeants ouest-africains semblent peu enclins à prendre le risque d'un conflit. Le Nigeria, première puissance militaire régionale, a ses propres problèmes de sécurité à régler, accentués par l'élection présidentielle d'avril prochain.
Plus de 170 personnes ont été tuées dans les violences post-électorales, notamment le 16 décembre lors d'affrontements en marge d'une manifestation de partisans de Ouattara qui tentaient de marcher sur le siège de la Radio-télévision ivoirienne (RTI), considérée comme une machine de propagande au service de Laurent Gbagbo.
Le président du Club de Londres des créanciers privés a fait savoir que la Côte d'Ivoire n'avait pas remboursé près de 30 millions de dollars d'intérêts, sur un emprunt de 2,3 milliards de dollars, comme prévu à l'échéance du 31 décembre. Il a toutefois souligné qu'il existait une période de grâce de 30 jours et s'est dit persuadé que le pays paierait.
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Quatre dirigeants africains représentant la Cédéao et l'Union africaine ont rencontré lundi soir à Abidjan Laurent Gbagbo, qui devait les informer qu'il n'a nullement l'intention de céder le pouvoir à son rival Alassane Ouattara.
Les présidents béninois, cap-verdien et sierra-léonais, mandatés par la Communauté économique des Etats d'Afrique de l'Ouest, ont déjà rencontré le président sortant la semaine dernière. Ils étaient accompagnés cette fois du Premier ministre du Kenya, Raila Odinga, dépêché par l'Union africaine et qui s'est prononcé pour un recours à la force si Laurent Gbagbo s'accroche au pouvoir.
"Nous sommes ici (...) pour engager un dialogue en vue de régler la crise", a déclaré Raila Odinga aux journalistes à l'issue de l'entrevue des quatre au palais présidentiel. Le chef du gouvernement kényan a indiqué qu'ils s'adresseraient à la presse dans le courant de la journée après une entrevue avec Alassane Ouattara.
Mais Abraham Doukouré, représentant de la Cedeao en Côte d'Ivoire, a précisé qu'il n'était pas question de remettre un ultimatum à Laurent Gbagbo, comme mardi dernier. "Les discussions vont se poursuivre", a-t-il dit à Reuters.
L'ANGOLA ACCUSE
Le président sortant s'appuie sur le soutien du Conseil constitutionnel dirigé par un de ses proches, Paul Yao N'Dréré, que les émissaires africains devaient aussi rencontrer, et de l'armée.
Il a réaffirmé au cours du week-end qu'il était prêt au dialogue mais a prévenu qu'Alassane Ouattara, désigné vainqueur de l'élection présidentielle du 28 novembre par la commission électorale, ne devait pas compter "sur des armées étrangères pour venir le faire président".
L'Angola, seul pays d'Afrique a avoir dépêché un ambassadeur à la prestation de serment de Laurent Gbagbo dans la foulée de la proclamation de sa réélection par le Conseil constitutionnel, a accusé des pays étrangers non spécifiés de pousser "d'autres pays de la région à lancer une guerre".
Pour sa part, Guillaume Soro, Premier ministre du gouvernement installé par Ouattara, a de nouveau évoqué l'option militaire.
"S'il ne donne pas son accord de partir pacifiquement aujourd'hui, il ne reste à la Cedeao que l'option militaire et mon gouvernement s'associera à toute initiative qui envisage une force légitime pour instaurer la démocratie en Côte d'Ivoire", a-t-il dit à la chaîne de télévision France 24.
"S'il quitte pacifiquement le pouvoir, il pourrait bénéficier d'avantages d'ancien chef d'Etat. C'est pourquoi nous souhaitons que M. Gbagbo (...) accède à la demande de la Cedeao. Qu'il abrège la souffrance des Ivoiriens en quittant le pouvoir pacifiquement", a ajouté Guillaume Soro.
Lundi, un haut responsable américain a estimé qu'une solution rapide ne semblait pas en vue.
"UN CERTAIN TEMPS ENCORE"
"On dirait qu'il faudra un certain temps encore avant que la situation ne se résorbe", a-t-il dit. "Si le président Gbagbo cherche à sortir la tête haute, nous restons ouverts et prêts à l'y aider. Mais il ne semble pas pour l'instant prêt à s'en aller. (...) Toutes les indications entre notre possession donnent à penser qu'il campe sur ses positions".
Alassane Ouattara et son administration sont retranchés dans l'hôtel du Golf à Abidjan, sous la protection de 600 soldats de l'Onu. Ils font valoir que l'armée ivoirienne est divisée et que la plupart des militaires n'opposeraient guère de résistance face au déploiement d'une force suffisante de la Cédéao.
Mais les dirigeants ouest-africains semblent peu enclins à prendre le risque d'un conflit. Le Nigeria, première puissance militaire régionale, a ses propres problèmes de sécurité à régler, accentués par l'élection présidentielle d'avril prochain.
Plus de 170 personnes ont été tuées dans les violences post-électorales, notamment le 16 décembre lors d'affrontements en marge d'une manifestation de partisans de Ouattara qui tentaient de marcher sur le siège de la Radio-télévision ivoirienne (RTI), considérée comme une machine de propagande au service de Laurent Gbagbo.
Le président du Club de Londres des créanciers privés a fait savoir que la Côte d'Ivoire n'avait pas remboursé près de 30 millions de dollars d'intérêts, sur un emprunt de 2,3 milliards de dollars, comme prévu à l'échéance du 31 décembre. Il a toutefois souligné qu'il existait une période de grâce de 30 jours et s'est dit persuadé que le pays paierait.
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Les médiateurs africains ont quitté Abidjan
lundi soir sans faire état de progrès vers une solution à la crise en Côte
d'Ivoire, alors qu'Alassane Ouattara, reconnu président par la communauté
internationale, affirmait que les discussions étaient "terminées".
Le Premier ministre kényan Raila Odinga et les présidents Boni Yayi
(Bénin), Ernest Koroma (Sierra Leone) et Pedro Pires (Cap-Vert) ont durant la
journée tenté de trouver une issue à la crise née du scrutin du 28 novembre,
qui a déjà fait près de 200 morts selon l'ONU.
Installé au palais présidentiel, Laurent Gbagbo était sous la menace d'une
opération militaire, actuellement en préparation, de la Communauté économique
des Etats d'Afrique de l'Ouest (Cédéao) s'il refusait de céder le pouvoir à M.
Ouattara.
Mais après deux rencontres avec M. Gbagbo et un entretien avec M. Ouattara,
Raila Odinga, envoyé par l'Union africaine, et les trois médiateurs de la
Cédéao sont partis sans annoncer une quelconque percée.
"A ce stade, nous pouvons seulement dire que les discussions continuent", a
déclaré M. Koroma dans la soirée, après le dernier rendez-vous avec M. Gbagbo.
Partis peu avant minuit (00H00 locale et GMT), les émissaires devaient
faire leur "compte-rendu" mardi à Abuja au président en exercice de la Cédéao,
le chef de l'Etat nigérian Goodluck Jonathan, a-t-on appris de source proche
de l'organisation à Abidjan.
M. Jonathan avait promis la semaine dernière que de "nouveaux pas" seraient
accomplis dès mardi.
Cependant, après sa rencontre avec les médiateurs, M. Ouattara a assuré que
pour lui les discussions étaient "terminées" et a appelé M. Gbagbo à "quitter
le pouvoir dans les plus brefs délais".
Retranché au "Golf hôtel" d'Abidjan avec son gouvernement - sous la
protection de 800 Casques bleus et un blocus routier des forces fidèles au
régime Gbagbo -, il a rejeté la mise en place d'un "comité d'évaluation" de la
crise postélectorale proposée par son adversaire. "Une stratégie pour pouvoir
gagner du temps", a-t-il accusé.
La Sierra Leone avait averti lundi matin qu'"aucun compromis" n'était
envisageable, près d'une semaine après une première mission infructueuse de
MM. Yayi, Koroma et Pires, et assuré que la discussion ne devait porter que
sur les conditions pour "faciliter" un départ "paisible" et "digne" de M.
Gbagbo.
S'il refuse de céder, la communauté internationale n'aura "pas d'autre
choix" que la force, a insisté le Premier ministre de M. Ouattara, Guillaume
Soro, chef de l'ex-rébellion des Forces nouvelles (FN).
Pour aider à clore la crise, Washington est prêt à "envisager" l'accueil
aux Etats-Unis de M. Gbagbo s'il le demande, a dit un haut responsable
américain sous couvert d'anonymat. "Mais toutes les possibilités risquent de
disparaître rapidement", a-t-il précisé, ajoutant que pour l'heure "il
s'obstine".
La mission de lundi paraissait de fait quasi impossible, M. Gbagbo ayant
fermement fait savoir qu'il n'entendait pas quitter le palais présidentiel
malgré l'intense pression extérieure.
"Nous n'allons pas céder", a-t-il promis dans ses voeux du Nouvel an,
fustigeant "une tentative de coup d'Etat menée sous la bannière de la
communauté internationale".
La situation était ces derniers jours plus que jamais bloquée, entre
ultimatums qui expirent sans conséquence et manifestations reportées. Les
partisans de M. Gbagbo ont ainsi ajourné dimanche l'assaut "à mains nues"
qu'ils entendaient lancer sur le Golf hôtel.
Un échec du dialogue pourrait replonger le pays dans les violences, alors
que 179 personnes ont déjà été tuées depuis mi-décembre selon l'ONU, qui a
pointé la responsabilité des forces pro-Gbagbo. Ces violences ont fait 53
morts depuis fin novembre, dont 14 membres des Forces de défense et de
sécurité (FDS) loyales à M. Gbagbo, selon le dernier bilan de son camp.
Le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, a affirmé que les Nations
unies feraient tout pour accéder aux sites d'éventuels charniers.
Les choses ne se passent plus comme l’aurait souhaité Alassane Ouattara, candidat malheureux à l’élection présidentielle du 28 novembre dernier. Alors que lui et ses soutiens internationaux ont voulu étouffer la vérité en organisant très rapidement un coup d’état électoral, la résistance du président Gbagbo et du peuple ivoirien a mis en échec la machination. Or, plus le temps passe, plus la vérité s’impose à tous. C’est pourquoi, le camp Ouattara rêve d’une hypothétique action militaire pour renverser Gbagbo. Qui ne viendra certainement pas.
Appeler à une action militaire contre le pays qu’il prétend le sien. C’est la trouvaille de Ouattara Alassane, père et financier de la rébellion armée qui endeuille la Côte d’Ivoire depuis bientôt 9 ans. Démontrant ainsi qu’il est en train d’épuiser tous les recours illégaux qu’il a choisis d’emprunter pour accéder au pouvoir d’état afin de jouer le rôle qui lui sied le mieux : celui de simple sous-préfet au service de la France.
On comprend donc la précipitation avec laquelle ses commanditaires et lui avaient voulu tordre le cou à la loi ivoirienne pour évincer du pouvoir le vainqueur légitime et légal de la présidentielle 2010 Laurent Gbagbo. Le faisant, ils ont voulu brouiller les pistes pour ensuite les effacer une fois leur forfait accompli. Mais comme le dit souvent le Président Gbagbo : « Le temps, c’est l’autre nom de Dieu ». Car, grâce au temps, toute la mise en scène tendant à faire asseoir Ouattara au palais présidentiel ivoirien est en train d’être dévoilée. On comprend que l’adversaire du Président Gbagbo soit dépité par la tournure des évènements et qu’il ne veuille pas d’une action politique ou autre hormis la voie militaire.
La vérité triomphe déjà
Seulement, les gens ne sont pas fous. Ils peuvent être sous influence mais, on ne peut les forcer indéfiniment à dénier la vérité.
La Vérité. Voilà une chose dont le camp Ouattara ne veut pas. Au demeurant qui use de violence démontre qu’il n’a plus d’argument.
Rébellion armée. Fraude électorale. Violence. Non-respect des lois. Désobéissance civile. Intervention militaire. Pour l’Ivoirien lambda, la propension de Ouattara à jouer du fusil ou du muscle à la moindre contrariété, est plus qu’agaçante. On voit bien que le néo-ivoirien ne connaît rien de la Côte d’Ivoire et on peut sans risque de se tromper avancer que ses soutiens ont été très mal inspirés en portant leur choix sur lui. A chaque fois qu’une mission se rend en Côte d’Ivoire dans le cadre de la résolution de la crise ivoirienne, elle se rend compte de la supercherie qui consiste à présenter Ouattara comme le président élu telle que relayée par une certaine presse étrangère aux ordres et révise sa position de départ.
Il y a près de deux semaines que, dit-on, le conseil des ministres de l’UEMOA a décidé, que dorénavant, la signature de M. OUATTARA et de celles de ses représentants, seraient les seules reconnues dans la gestion des avoirs de la Côte d’Ivoire, logés sur les comptes de la BCEAO. Autrement dit, les signatures de GBAGBO et de ses représentants ne seraient plus reconnues pour les opérations avec la BCEAO. Nous pouvons affirmer qu’à ce jour, 30 décembre 2010 seules les signatures de GBAGBO et de ses représentants sont les seules reconnues par la BCEAO.
Des faits illustrent nos affirmations :
- Les chèques et bons du trésor public tirés par l’état sur des comptes logés à la BCEAO continuent d’être payés ;
- Le paiement des salaires des fonctionnaires et agents de l’Etat, qui se traitent à travers une opération de compensation entre le Trésor Public et les banques de la place, via la BCEAO, ont été payés ;
- Les opérations de compensation se déroulent quotidiennement à la BCEAO avec la participation active des comptes du Trésor Public dont les signatures accréditées sont celles des représentants de M. GBAGBO ;
- Un appel d’offres de FCFA 40 milliards pour l’émission de bons du Trésor Public, initié par le Gouvernement de Côte d’Ivoire, vient d’être lancé par la BCEAO au profit du Trésor Public de Côte d’Ivoire.
On peut donc dire qu’avec la BCEAO rien n’a pour le moment changé dans ses relations avec la Côte d’Ivoire. Nous ne sommes, pour le moment, qu’à l’étape des gesticulations sans fondement et sans lendemain des tenants de la République du Golf Hôtel. La décision du conseil des Ministres, si elle devrait être effective, devrait être approuvée à l’unanimité des membres de la conférence des chefs d’Etat de l’UEMOA. A ce jour, la conférence des chefs d’Etat n’a pas encore statué sur le cas de la Côte d’Ivoire. Mais si par extraordinaire, la Côte d'Ivoire, qui tient tous les leviers des régies financière locales, devrait connaître ce sort injuste que se passerait il ? Assurément la zone connaîtrait de fortes perturbations économiques, financières et même sociales.
Au 31 août 2010, la Côte d’Ivoire qui prendrait cette décision pour une volonté manifeste de son exclusion, représente 30% des agrégats monétaires intégrés (avoirs extérieurs nets, Crédit intérieur, masse monétaire) de la zone UEMOA, environ 60% des valeurs exportées, et plus de 35% du produit Intérieurs Brut (les richesses produites dans la zone). Ces statistiques sont très significatives pour la cohésion de la zone monétaire. Si la Côte d’Ivoire, qui doit tout faire pour éviter son retrait, se trouvait dos au mur, elle mettrait en œuvre, sans délai, des solutions alternatives. Il faudrait donc réorganiser profondément toute la zone CFA de l’Afrique Occidentale.
Pour sa part, la Côte d’Ivoire y travaille déjà. Ne serait ce pas le point de départ de son indépendance économique tant recherchée ? La Côte d’Ivoire avec SEM le Président Laurent GBAGBO, a le droit, la force interne et la plus grande partie de la puissance économique, financière et monétaire de la région avec lui. Nous devons garder « la tête sur les épaules » ; puis inlassablement, dans l’Union, et la Discipline, vaquer, chacun, quotidiennement à notre Travail. La libération de la Côte d’Ivoire du joug politique et monétaire Français en serait surement la contrepartie positive de nos efforts conjugués dans la détermination, pour la réalisation des objectifs bien connus de tous : l’indépendance et le développement économiques durables.
Miche CYRAUG, Expert des opérations de banques
Voici la version de M. Bakayoko suivie de mon analyse. L'actualité politique
- M. Bakayoko révèle que la CEI a indiqué que l'invalidation de votes suite aux recours introduits par le candidat Gbagbo ne relevaient pas de son ressort. Alors comment a-t-on invalidé les votes en France? ...Qui en a décidé?
- M. Bakayoko a dit qu'il ne savait pas que Ouattara était au Golf Hôtel. Il est bien membre du RHDP, que je sache! Il devait être le seul à ne pas le savoir en CI. Si le Président de la CEI peut ignorer une information aussi évidente et de notoriété publique, que dire de ce qui relève de sa compétence et qui est hautement plus complexe?
- M. Bakayoko révèle que les Forces de Sécurité ont mis tous les journalistes dehors sans l'en avoir avisé et qu'ils ont débarqué dans les locaux de la CEI subitement, créant ainsi une panique générale et une insécurité pesant sur les membres de la CEI. Pourtant il existe bien un document vidéo sur lequel M. TOKPA Vié expliquait son geste devant des journalistes puis a été interrompu par un membre RHDP de la commission appelé au téléphone par des "corps habillés" comme le dit Bakayoko. Ces mêmes corps habillés ont assisté à l'arrachage des caméras des journalistes par ledit membre de la CEI et l'ont aidé à chasser les journalistes... Alors, ces corps habillés, quelle panique ont-ils réellement créé? A qui faisaient-ils peur? Qui soutenaient-ils?
Voici le lien de la vidéo: http://www.youtube.com/wat ch?v=nfTpsJCVsmI&feature=r elated ou encore
- M. Bakayoko Youssouf révèle qu'en arrivant à la CEI, ce matin-là, il s'est aperçu que les mêmes FDS étaient présents et qu'il avait compris que la sécurité n'était pas assurée. Il a alors demandé quel est l'endroit d'Abidjan LE PLUS SÛR. On lui aurait répondu: le Golf. Plusieurs observations.
a) Il ne s'est jamais demandé pourquoi le Golf serait l'endroit le plus sûr?
b) S'il recherchait un endroit le plus sûr, pourquoi n'a-t-il pas choisi le Palais Présieentiel ou la Primature? Ce sont 2 endroits réputés pour la sécurité qui y règne!
c) Il voit les FDS et donc pas de sécurité. Ce qui insinue que pour lui FDS = insécurité.
M. Bakayoko Youssousf devra trouver d'autres explications plus cohérentes et convaincantes. Il représente à loisir ceux qui ont causé la perte de Ouattara en faisant preuve d'un amateurisme sans nom, d'une précipitation inutile.
Il avait la sécurité pour lui. Il avait le cadre légal qu'il convenait. Enfin il veut confondre "proclamer les résultats" et "transmettre les résultats". Or ce sont toutes les deux les missions qui sont imparties à la CEI. Tout ceci prouve que M. Bakayoko, sachant désormais qu'on sait là où il crèche, il a pour obligation de se montrer et de se justifier. Mais les arguments sont loin du compte.
Pendant les 30 derniers jours suivant le 2ème tour des élections présidentielles en Côte d'Ivoire, j'ai une impression vivace d'aveuglement et d'obsession de toute part. Il m'apparaît que nul au sein de notre Mère Communauté internationale, n'a envie de répondre à la question fondamentale ou alors a décidé par avance (avant même l'élection) qu'il fallait que Gbagbo parte.
En effet, je suis étonné d'entedre parler de "Président autoproclamé". Expression reprise en boucle sur toutes les chaînes de télévision françaises et même dans la presse écrite des pays occidentaux. Mais qu'est-ce qu'un Président autoproclamé? J'ai bien envie d'en faire la démonstration! Mais est-ce nécessaire? Car ceux qui emploient cette expression ne le font pas par ignorance mais par choix. Face à un tel choix de ne pas parler de la réalité telle qu'elle apparaît de la façon la plus primaire, toute discussion paraît inutile. Il s'agit d'un message que les défenseurs de la Mère Communauté Internationale veulent imposer à l'opinion internationale avec les mêmes méthodes d'embrigadement de l'esprit utilisées par les régimes les plus totalitaires qu'ait connus l'humanités, les régimes de type stalinien. Dans ces régimes, les Ministères de l'information et de la propagande étaient le point d'appui des pouvoirs. Quel recul! Ce qui est le plus drôle, ce sont les mêmes pays occidentaux qui reprochent à la RTI de faire de la propagande!
Puis vient la question de la sortie de crise. Je n'ai encore entendu aucun membre éminent de la fameuse Communauté internationale conseiller à M. OUATTARA d'utiliser tout l'arsenal juridique de son propre pays, de la Communauté Ouest africaine ou de l'Union Africaine pour faire valoir ses droits! A contrario, chaque jour qui passe voit M. SORO passer sur les mêmes chaînes de télévision utilisant l'expression "Président autoproclamé" justifier et appeler à l'utilisation la plus urgente de la Force. En somme, ces chaînes de télévision de pays dits démocratiques ouvrent leurs antennes à longueur de journée à un chef de rebellion qui, depuis le 29 novembre sur Europe 1 avec Jean-Pierre Elkabach, réclame dans un refrain mal assimilé une intervention militaire pour installer la démocratie. C'est ici que notre mère Communauté Internationale conçoit la démocratie. Les lois ne servent à rien, surtout pas à régler des différends. Si on peut appliquer une telle norme au plus haut niveau de l'Etat, qu'en sera-t-il au niveau des différends entre particuliers dont l'un se sentira lésé par le jugement rendu par le Juge? Et s'il faisait appel à la COmmunauté Internationale à sa portée (ses frères, les habitants de son quartier, de son village, de sa ville etc.) pour se faire justice ainsi qu'il l'entend?
Bien entendu, on me dira que j'exagère. Croyez-vous réellement que j'exagère? N'y a-t-il aucun parallèle avec l'attitude de laCommunauté Internationale? N'y a-t-il aucun parallèle avec le comportement de M. OUATTARA? Ce dernier, depuis 1 mois, n'a jamais fait une seule fois appel aux institutions de son pays pour lui rendre justice! Aucune! Par contre, l'ONU, les Chancelleries étrangères, la CPI et bien d'autres instances sont remplies de courriers et de siasine de sa part. Croit-il aux institutions de son pays? A l'évidence non. Sur quoi fondera-t-il alors son autorité? Question devenue d'autant plus cruciale que le même homme n'a pas arrêté d'appeler les administrations publiques et les populations à la grève, à les menacer de sanctions s'ils collaboraient directement ou indirectement... Appels qui jusqu'ici ont fait un flop retentissant contribuant à saper encore davantage le peu d'autorité et de crédibilité qu'il lui reste au plan national. Cela ne rend que plus problématique toute reprise en main. En terme de management, dans une structure privée, un manager de ce niveau serait remplacé sans attendre: il n'a plus de prise sur son équipe encore moins sur ses prérogatives. S'il venait à être installé comme Président, c'est un homme affaibli politique et socialement face à ses concitoyens et redevable sur le plan international qu'aura hérité la Côte d'Ivoire.
Chacun de nous, citoyen d'une Nation ou résident dans un pays quelconque, nous avons pour devoir de respecter les lois de ce pays et de nous y soumetre en tout en utilisant les voies de recours prévues pour ces organisations pour que notre dignité humaine et nos droits, s'ils étaient bafoués soient rétablis.
Enfin, pour tous ceux qui espèrent une intervention militaire, il se passera bien des mois pour qu'une telle action puisse se réaliser si taoutefois cette action pourrait être légitimée. En effet, entre ceux qui soutiendraient sans envoyer d'effectifs, ceux qui ne soutiennent pas, ceux qui voudraient bien mais ont des préoccupations intérieures prioritaires, il faudra compter les trouepes. Pusi les Nations qui auront défintivement décidé de participer à une telle force (au passage, j'espère que ce seront totutes des Naions démocratiques: c'est le minimum pour une force appelée à instaurer la démocratie ! quoique!), ces Nations devront recevoir l'aval de leur parlement respectif. Car ces pays ont des institutions à respecter ! Un peu comme la Côte d'Ivoire d'ailleurs. Mais au regard de la situation, je crois qu'ils vont s'en passer! La cause est suffisamment divine pour échapper aux différentes représentations nationales. En somme, ceux qui croient en l'intervention rapide d'une force militaire font preuve d'une cruelle naïveté politique. Ce n'est pas étonnant pour un Guillaume SORO Dernier élément de ce que rien ne risque d'avancer, c'est la désignation par l'Union Africaine d'un Premier Ministre pour rejoindre 3 Chefs d'Etat désignés par la CEDEAO. En clair, une personnailité de rang inférieur qui succède à un ancien Président (le sud africain) semble être un meilleur recours que 3 chefs d'Etat réunis. C'est dire par avance, le chemin pris dans la résolution de cette crise. Il faut savoir lire les lignes diplomatiques. C'est un jeu à somme positive que joue l'Union Africaine en choisissant un Premier comme émissaire là où la CEDEAO s'encombre de 3 chefs d'Etat. C'est signifier à la CEDEAO que cette crise est d'une importance mineure et qu'elle saurait être résolue avec beaucoup moins d'efforts diplomatiques! Il faut simplement faire respecter la loi d'un pays! C'est cela la jurisprudence constante !
Goodluck Mister Jonathan!
La Russie a soutenu qu’elle ne reconnaîtra pas la légitimité d’Alassane Ouattara, déclaré vainqueur du second tour de la présidentielle du 28 novembre dernier en Côte d’Ivoire par la Commission électorale indépendante (CEI) et reconnu par une bonne partie de la communauté internationale, jusqu’à ce qu’elle soit confirmée par le Conseil constitutionnel de ce pays d’Afrique de l’Ouest.
”Nous suivons la situation sur place avec beaucoup d’intérêt. Ce n’est pas exact de dire que la Russie ne reconnaît pas Ouattara. Dans ce cas, il faut plutôt dire que sa légitimité est discutable jusqu’a ce qu’elle soit confirmée par le Conseil constitutionnel de la Côte d’Ivoire”, a affirmé l’ambassadeur de Russie au Nigeria, Alexander Polyakov, dans les colonnes du journal “Sunday Guardian”.
La Russie est le seul membre permanent du Conseil de sécurité des Nations unies à ne pas avoir reconnu la victoire de Ouattara devant le chef de l’Etat sortant Laurent Gbagbo qui s’est maintenu au pouvoir et son action est considérée comme étant un frein aux efforts de la communauté internationale pour permettre à Alassane Ouattara d’exercer le pouvoir.
On rappelle qu’à l’issue du second tour de la présidentielle ivoirienne, le président de la Commission électorale indépendante, un proche de M. Ouattara, l’avait proclamé vainqueur de l’élection, tandis que le Conseil constitutionnel, l’instance légale du pays, avait accordé la victoire à Gbagbo. Chacun des deux camps se réclame président du pays et a formé son gouvernement.
Avec Pana